Tricastin ZI Chaudronnerie métallerie inox / Stainless steelboiler makingmetalwork
169 T - Ø = 6m : Élément cuve réacteur origine Japon destinataire AREVA France
169 Ton - Ø = 6m: Japan original reactor vessel component receiving AREVA France
AREVA Tricastin Usine en surélévation Georges Besse 2 d'enrichissement par centrifugation du combustible (Mox et Uranium 235)
En arrière plan : Centrale Nucléaire EDF DU tRICASTION Réacteurs REP (Réacteur à Eau Pressurisée) 915 MW x 4
In elevation AREVA Tricastin Georges Besse 2 plant Centrifuge uranium enrichment (Mox and Uranium-235)
Blackground: Tricastin Nuclear Power Plant Reactor PWR (Pressurized Water Reactor) 915 MW x 4
Canal de dérivation du Rhône de Donzère-Mondragon en surélévation / FloodwayRhôneDonzère-Mondragonin elevation
Centrale nucléaire du Tricastin à 800 mètres en amont / Tricastin Nuclear Power Plant 800 meters upstream
Tricastin EDF Nuclear Power Plant Reactor n°1 Main Transformer Fire
Tricastin Centrale Nucléaire EDF Réacteur n°1 Incendie Transformateur Principal
09 07 2011
09 07 2011
État de la situation de Pré-Alerte concernant le réacteur n°1 de la CN du Tricastin.
Les investigations concernant le réacteur n°1 sont permanentes, elles sont associées à des premières mesures surfaciques de contrôles de la radioactivité dans le secteur sud à proximité du réacteur n°1 de la centrale nucléaire du Tricastin qui se sont avérées normales.
Un collecteur de particules pour des tests pourrait compléter le dispositif de contrôle (contrôle des divers rejets), si l'évolution de la situation l'exige.
Il est constaté qu'une impossante grue vient d'être installée à l'arrière des bâtiments turbines et alternateurs des réacteurs
n°3 et n°4, près des Transformateurs Principaux de sorties. La deuxième constatation concerne les rejets de vapeur (non identifiés) au sud-ouest du bâtiment de confinement du réacteur n°1 qui ont cessés.
Nul besoin d'être un profileur pour comprendre qu'il y a actuellement de fortes suspicions de problèmes concernant le réacteur n°1 qui est à l'arrêt, suivant les dernières informations, ceci depuis le 4 mai 2011 à 17h15.
Cet arrêt survient seulement après 8 mois d'exploitation suite au précédent arrêt normal du 3 juillet au 12 août 2010 pour maintenance et rechargement du combustible.
Une période si courte entre deux arrêts est totalement inusitée, elle est la conséquence de problèmes, de plus l'ASN et EDF ne communicant pas sur cet arrêt, cela rajoute à la suspicion "d'éventuels incidents ou accidents" sur cette unité nucléaire HS vieillissante qui est de loin le réacteur le plus préoccupant de France au niveau de la sûreté.
L'ASN et le réacteur n°1 de la CN du Tricastin
Concernant la prolongation d'exploitation du réacteur n°1 de la centrale nucléaire du Tricastin l'ASN vient d'émettre avis sur avis, leurs lectures ne sont pas du tout rassurantes ...
La toute dernière information est plus que cocasse, puisque c'est RTE (Réseau Transport d'Electricité) qui justifie en 4 mots cet arrêt du réacteur n°1 de la centrale nucléaire du Tricastin dans les indiponibilités, sic, "Cause de l'arrêt : Réseau de Transport".
Déjà plus de deux mois d'indisponibilité pour des problèmes issus de réseau de transport THT, c'est aussi anormal, mais cela l'est encore plus lorsqu'on sait que les 2/3 de la production d'électricité de la centrale Nucléaire d'EDF du Tricastin soit 15 TWh sur 25 TWh sont utilisées sur place par l'usine d'enrichissement EURODIF (filiale d'AREVA), ce qui en fait et de loin le plus grand consommateur d'électricité de France et le tout premier client d'EDF.
il est légitime de dire, puisque nous sommes à l'heure des économies d'énergie ; presque 3 réacteurs de 915 MW sont réservés seulement pour un site nucléaire à AREVA, c'est tout simplement gigantesque et totalement hors normes !.
AREVA et les ... économies d'énergies : grotesque !
Aux vues de ces constatations, cela semble grotesque et dérisoire de demander à la population de réaliser notamment avec des LFC (arnaques) des économies d'énergie qui ne réprésentent presque rien par rapport à la consommation énergétique phénoménale d'AREVA.
En conséquence le communiqué de RTE rajoute encore une couche à la suspicion (diversion ?) concernant des éventuels problèmes liés au réacteur n°1, puisque non relié au réseau ou interconnexions faciles in situ, la justification de l'arrêt pour des problèmes des transports
"ne tient pas la route", car justement c'est la proximité mitoyenne d'EURODIF qui permet de limiter à presque rien le transport de l'énergie, ce qui de surcroit limite aussi à rien les pertes dues au transport.
A suivre ... prochaine news
L'ASN et le réacteur n°1 de la CN du Tricastin : En France trente trois défauts sous revêtement ont été observés sur 9 cuves des réacteurs,
dont 20 sur la cuve du réacteur n°1 de Tricastin.
Réacteur n°1 de Tricastin : Stop aux bricolages et aux risques nucléaires.
Le réacteur n°1 (et les 3 autres) de la centrale nucléaire du Tricastin doivent être démantelés !
Construction à partir de 1974 des 4 bâtiments de confinements des réacteurs de la centrale nucléaire d'EDF du Tricastin Vues de la cuve et du couvercle du réacteur n°1 de la centrale nucléaire du Tricastin mis en service le 31 mai 1980.
L'ASN explique que certaines cuves du parc électronucléaire français présentent des défauts sous leur revêtement dus au procédé de fabrication.
La cheminée d’évacuation rejette dans l’environnement les effluents gazeux provenant de la zone nucléaire et en partie de la zone de confinement conventionnelle.
Après une forte décroissance radioactive dans la ligne d’immobilisation et filtration, les produits résiduels de la fission, c'est-à-dire les gaz rares radioactifs
de courte durée de vie tels que le xénon ou le krypton sont évacués dans l’atmosphère.
Les gaz rejetés sont surveillés en permanence en ce qui concerne la radioactivité, ceci afin que les valeurs limites soit respectées . . . par dilution progressive.
Dans le cas d’incident ou d’accident engendrant une surpression, une décompression brutales d’effluents gazeux fortement radioactifs
peut se produire automatiquement sous contrôle de clapets tarés pour préserver l’intégrité du réacteur.
Entrée (4x2 groupes pompes) sur le canal de dérivation du Rhône de Donzère-Mondragon
et Sortie (4 buses de rejets) d'eau de refroidissement des 4 Réacteurs à Eau Pressurisée
07 07 2011
Pré-Alerte Tricastin France
PRÉ-ALERTE : Tricastin Centrale Nucléaire EDF Réacteur n°1 REP (Réacteur à Eau Pressurisée) 915 MW - Vue Zone Sud-Ouest
EARLY ALERT: Tricastin EDF Nuclear Power Plant Reactor n°1 PWR (Pressurized Water Reactor) 915 MW - View Southwest Zone
06 07 2011 : Pré-Alerte Tricastin
Il faut savoir qu’une unité nucléaire à l’arrêt ne l’est jamais vraiment, en effet cela implique, même en cas de rechargement, que le refroidissement du combustible du réacteur se poursuive avec une alimentation externe en énergie électrique pour les pompes et la régulation.
Tout incident ou accident même hors zone nucléaire de confinement, mais mitoyenne peut engendrer des détériorations d’organes périphériques des systèmes électriques qui peuvent être cruciaux pour la sûreté. Exemple les générateurs électriques de secours à Fukushima qui étaient hors zone nucléaire avaient été mis HS.
Concrètement au Tricastin l’anomalie électrique sur la phase du pôle de puissance 1 du Transformateur Principal (TP) de sortie de l’alternateur (échangeur du circuit secondaire) du réacteur n°1 a généré un puissant arc électrique qui a engendré une déflagration entendue nettement par tous les riverains. Il s’en est suivi l’incendie que nous connaissons.
Le déroulement des faits avérés [PDF] soulèvent légitimement un certain nombre de questions et pour beaucoup d’hypothèses qui demandent évidemment confirmations.
Différents transformateurs, Transformateur de Soutire (TS) et Transformateur Auxiliaire (TA) sont présents dans la zone de l'alternateur (turbine, circuit secondaire) juste à côté du Transformateur Principal accidenté (HS), ils font partis de la sûreté nucléaire des installations. (visible nettement sur les photos HD du dossier).
Nous sommes responsables et ne publions pas de rumeurs sans en avoir vérifié la réalité avec certitude, néanmoins actuellement il est légitime de se poser des questions sur l’état exact du réacteur n°1 d’EDF de la centrale nucléaire du Tricastin.
Le silence actuel de l’ASN est assourdissant, ... on ne va pas nous refaire le coup de la SOCATRI ou il a fallu "arracher" toutes les infos avec une présence permanente in situ, (même la nuit avec des rencontres inattendues des contrôleurs jusque dans les fossés !). La suite nous la connaissons puisqu’’il y a eu des manquements graves et des dissimulations qui ont obligé les autorités à déposer des plaintes judiciaires (Cour d'Appel de Nîmes ce jour).
Le réacteur n°1 est actuellement placé sous simple surveillance visuelle, avec des appareils photos et caméra HDV, néanmoins la conjonction des élèments oblige à réaction et à une pré-alerte. Nous demandons à l’ASN et à EDF de communiquer, non pas pour "s'extérioriser en basique", mais dire avec précision l’état exact de la situation du réacteur n°1 (chronologie de tous les événements des derniers jours et ceux en cours).
Rappel : EDF dans son communiqué précise que le réacteur n°1 était à l’arrêt lors de la détonation de l'arc électrique et de l’incendie du pôle 1 du Transformateur Principal (TP), néanmoins cet arrêt non confirmé par l’ASN qui publie les arrêts seulement au redémarrage des réacteurs survient paradoxalement à un arrêt très récent en date du 3 juillet au 12 août 2010 pour maintenance et rechargement du combustible. Le précédent arrêt datant ensuite du 16 juin au 20 juillet 2008.
S’il n’y a pas de communication sur le réacteur n°1 (l'ASN n'ayant déjà pas repondu à la précédente demande), dans ce cas, face à cette carence de transparence il est du devoir des citoyens de prendre leurs responsabilités.
Cela sera une première en France pour "y voir clair" et informer de la réalité, en sus des appareils de prises de vues, nous envisageons en fonction des moyens disponibles (aider) de passer à l'action citoyenne avec le déploiement in situ d'une unité mobile autonome de mesures comprenant groupe électrogène, collecteur de particules, compteurs Geiger pro, ...
05 07 2011 : Communication Il reste actuellement beaucoup de zones d’ombres concernant l’accident du transformateur de sortie de puissance de l’alternateur du réacteur n°1. Celui-ci n’a pas explosé
mais brulé suite à une forte déflagration issue d’un arc électrique sur un pôle (phase 1 à gauche sur les photos) c'est ce qui a été entendue par les riverains.
Ceci est d’autant plus étrange que d'après EDF (ASN ne confirme pas à ce jour) le réacteur n°1 était à ... l’arrêt.
Cet arrêt est lui aussi assez "mystérieux" puisque nous n’en connaissons pas actuellement ni sa date (arrêt programmé ou brutal ce samedi ?), ni son origine, etc ...
Affaire en cours ; il est possible que nous lancions une alerte sur la CN du Tricastin si les informations deviennent plus précises,
la transparence n'étant pas de mise, par expériences antérieures nous savons qu'avec la centrale nucléaire d'EDF du Tricastin tout est possible ...
Tricastin : Dioxine ou pas dioxine dans le nuage de suies suite à l'incendie du transformateur du réacteur nucléaire n°1 ?
4 Juillet 2011, Le Dauphiné :
Laurent Delabroy directeur de la centrale nucléaire d’EDF du Tricastin a déclaré que les causes de l'incendie qui s'est produit samedi après-midi à la centrale EDF du Tricastin en dehors des installations nucléaires restent indéterminées. Le feu a endommagé une des bornes qui relie le transformateur de l'unité n°1 aux lignes à haute tension du réseau électrique national. Il a rajouté : "Il n'y a plus aucun transformateur au pyralène sur le site de la centrale", donc aucun risque de dégagement de dioxine, comme le craignait l'ONG Next-Up.
05 07 2011 Réponse de Next-up Organisation [dossier PDF explicatif]
Antécédents obligent : Nous prenons acte des déclarations de Laurent Delabroy directeur de la centrale nucléaire d’EDF du Tricastin, néanmoins vue la chronicité des fausses déclarations, notamment à destination des médias dans les précédents incidents et accidents sur le site nucléaire du Tricastin et dans la lamentable affaire de pollution environnementale radioactive par la SOCATRI (avec procédures judicaires), il a été réalisé en mesures conservatoires des prélèvements (6) de particules de suies, ceci avant les pluies.
Ces prélèvements ont été effectués chez les riverains résidents au sud de la centrale nucléaire qui ont été impactés dans la trajectoire du nuage (panache) fortement chargé en suies et dont certains très proches ont témoigné qu’ils ont eu en moins d’une minute le ciel qui s’est totalement obscurci à quelques mètres de hauteur.
Les prélèvements conservatoires pourront, en cas de doute et en première approche être analysés par le Laboratoire Départemental de la Drôme (RSDE), si besoin il pourra ultérieurement être aussi réalisé par le laboratoire d’autres prélèvements in situ dans le cadre de son accréditation COFRAC.