Des riverains s'opposent physiquement à une deuxième tentative
d'installation d'antennes relais de la société anonyme Orange

Le problème n'est pas nouveau, c’est même devenu maintenant une quasi généralité :
 l'installation ou la modification d’un site antennes-relais suscite des plus en plus
une levée de boucliers et un blocage de la part des riverains.

Il y a actuellement en France plusieurs dizaines de sites occupés physiquement et des milliers placés
sous haute surveillance par les riverains qui ne supportent plus le laxisme des autorités sanitaires qui laissent
des actionnaires de sociétés anonymes (de droit privé) polluer l’Environnement et porter atteinte à
leur santé et à la valeur de leur patrimoine, le fruit de toute une vie qui dans certains cas devient invendable.

La nouvelle action du 2 novembre 2010 du collectif des Mourriers à Montélier dans la Drôme
en est un exemple révélateur :
ses membres sont déterminés dans un combat pour une vie saine qu’ils estiment à juste titre légitime,
c’est leur deuxième action d’opposition en quelques mois contre la tentative de la
SA Orange d’installer ses antennes relais.

Un avertissement collatéral à cette action est aussi lancé à l’attention de la Coopérative Drômoise de Céréales
(le bailleur d’Orange)  qui possède de nombreux silos dans le département et
qui héberge un grand nombre de sites d’antennes relais de TM.
Celle-ci doit savoir que bientôt elle devra assumer ses responsabilités de multi-bailleurs de SA d’opérateurs.
Nous lui conseillons vivement de contacter un Conseiller Juridique afin qu’elle prenne conscience de ce qui est illégal, ceci afin qu’elle puisse prendre toutes les dispositions qui s’imposent pour sa mise en conformité avec la loi.
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Il ne fait plus aucun doute, le Grenelle de l’environnement des antennes relais est un échec,
il n’a pas su prendre à sa juste valeur l’impact sur l’environnement engendré par les Hautes Fréquences artificielles électromagnétiques micro-ondes des transmissions sans fil qui sont un vecteur majeur d'irradiation
à travers l'air :
en d’autres termes, nous devons faire acte de responsablilité afin de protéger
ce patrimoine commun  de cette nouvelle pollution environnementale.

Force est de constater que des individus, actionnaires de sociétés anonymes s’accaparent pour leurs
propres intérêts et polluent actuellement sans scrupule un bien commun qui est une ressource limitée,
à savoir l’air.
C’est un élément essentiel de la vie, une nouvelle approche de gestion de cette ressource est absolument fondamentale pour le devenir de l’humanité face à cette nouvelle technologie et à tous les autres contaminants.

D’autres questions d’éthique se posent :
- Pourquoi et de quel droit des personnes, actionnaires de sociétés privées
sont-elles autorisées à polluer le bien commun ?
- Qui a défini les valeurs de la charge d’irradiation de cette pollution environnementale de la population ?
La réponse est :
l'ICNIRP, un organisation de droit privée pro-industriel, créée par un corrompu : M. Repacholi

Ces valeurs sont-elles compatibles avec la santé humaine?
La réponse à cette question est NON, nous mettons au défi Orange de nous prouver le contraire.

Il est urgentissime que la société puisse "ouvrir les yeux" pour assainir une situation qui est totalement à la dérive
sur "le patrimoine commun de l’air"
de sorte qu’il devient DURABLE et compatible avec la vie normale de tous,
incluant les personnes sensibles, les jeunes, les personnes âgées et celles en état de faiblesse.
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Rafraîchissement de mémoire (local) pour les actionnaires et responsables de la SA Orange :
Il y a quelques mois lors de la première tentative de la SA Orange pour installer ses antennes relais,
Alain Gay le Président de la Fédération Départementale de la Drôme des collectifs et associations
qui luttent contre les antennes relais avait déclaré dans les colonnes du Dauphiné Libéré :
"Nous sommes dans une configuration où les antennes relais ne sont pas encore posées.
Tout est donc possible . Dans un premier temps,
nous allons informer la population et essayer de nous organiser pour pouvoir s'opposer efficacement.

Si on ne peut pas discuter, on va se retrouver dans une opposition directe.
Dans ce cas-là, nous pourrons procéder au blocage de l'installation, et choisir de mettre la pression sur les opérateurs. Le but, c'est d'arriver à téléphoner tout en ayant le moins de risques possibles. "