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Le gouvernement veut généraliser la télévision sur téléphone mobile Les 22 réactions des abonnés du monde.fr |
Grasse (Fr) : Antennes indésirables à Chateaufolie |
Hainaut (Be) : Foison d'antennes dans le centre |
Borrador Telefonía Móvil : |
Téléphonie Mobile : APPEL AU FINANCEMENT d’ÉTUDES INDÉPENDANTES DE RECHERCHES SUR LA POLLUTION ÉLECTROMAGNÉTIQUE. - Équipe Perreta-Navarro-Pórtoles |
"Les antennes relais de téléphonie mobile ont provoqué 27 décès", disent les riverains |
"Mobile phone mast has caused 27 deaths", say residents. |
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" Un mástil de telefonía móvil ha causado 27 muertes ", dicen los residentes. |
"Een GSM mast heeft 27 doden en ziekten veroorzaakt", zeggen inwoners. |
"Le antenne della telefonia mobile hanno provocato 27 decessi", dicono gli abitanti. |
TESLABEL :
les nouvelles Belges sur la Téléphonie Mobile d'octobre 2006.
(cliquer/click)
Le lien entre l'exposition à des antennes-relais GSM et l'augmentation du risque de cancer est établi: 3921 votes |
- on diminue le nombre d'antennes : - on place les antennes ailleurs : - on déplace les gens : - on en revient au bon vieux fixe : - cela ne me concerne pas : |
15.6% / 611 21% / 824 39.6% / 1554 2.4% / 93 19.4% / 759 2% / 80 |
SantéSignaux d'alarme pour les mobilesSommes-nous les cobayes de la téléphonie mobile ? Le lien entre l'exposition à des antennes-relais et l'augmentation du risque de cancer est établi. Un nouveau site internet présente ces études.SCHOUNE,CHRISTOPHEmardi 03 octobre 2006, 18:26
Plus inquiétant encore, le lien entre l'exposition des riverains à des antennes relais de téléphonie mobile et l'augmentation élevée du risque de cancers est établi dans plusieurs cas (Saint-Cyr-l'École en France, Usfie en Israël...), rapporte le docteur Roger Santini, dans une synthèse réalisée sur l'état de la question. C'est aussi le cas de l'étude Eger réalisée auprès de 1.000 patients des médecins de la ville de Naila, en Allemagne. Les résultats montrent que la proportion de nouveaux cas de cancer est significativement plus élevée parmi les patients qui ont vécu les 10 dernières années à une distance inférieure à 400 mètres des sites d'émetteurs cellulaires. Les auteurs constatent encore que le risque relatif de contracter un cancer a triplé entre 1999 et 2004. Alors que la communauté scientifique a multiplié les appels à la prudence, le gouvernement fédéral adoptait l'an dernier des normes sept fois plus élevées (20,6 volts par mètre) que celles recommandées par le Conseil supérieur d'hygiène (3 V/m). À l'Institut belge des postes et des télécommunications, on remarque que plus de 80 % de stations émettent en dessous de 3 volts par mètre. Mais même ces 3 volts apparaissent trop élevés pour de nombreux acteurs qui prônent un maximum de 0,6 volt dans l'état actuel des connaissances. « Une prise de conscience de la dangerosité de la technologie employée dans la téléphonie mobile est urgente, concluait en mai Roger Santini, décédé depuis lors, dans son dernier article consacré à la question. Il convient dès à présent d'appliquer le principe de précaution et de mettre en oeuvre d'autres mesures de radioprotection. » (1) www.001.be.cx REPÈREsLes normes d'émission. En Belgique, 20,6 volts par mètre pour une antenne de 900 mhz ; en Italie, 6,1 v/m, au Luxembourg, 3 v/m ; en Suisse, 0,5 v/m, en Toscane, 0,6 v/m ; à Paris, 2 v/m. L'Europe recommande 41 v/m. Au Pays-Bas, il n'y a pas de normes mais 50 villes et communes ont adopté un moratoire en attendant des normes. A Strasbourg, plus aucune nouvelle antenne n'est autorisée. En France, une proposition de loi vise à interdire l'implantation de stations-relais dans un rayon de 300 mètres autour des lieux habités. En Suède, des « zones blanches » de faible niveau d'exposition (0,1 v /m) ont été créées. Infos. Teslabel, BP. 89, 1170 Bxl. Tél : 02.673.12.01, www.teslabel.be. Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques, « On manque beaucoup de prudence »ENTRETIEN P résident de l'Association européenne micro-onde, le professeur émérite André Vander Vorst (UCL) est membre des Conseils de santé en Belgique et aux Pays-Bas. De nouvelles études révèlent des risques pour la santé liés aux antennes-relais.. Ces antennes constituent un risque, c'est incontestable. La difficulté, c'est de mesurer ce risque quantitativement. Parmi les risques, ces études évoquent des taux de cancer plus élevés... Les médecins et physiologistes estiment que si une nouvelle source de cancer apparaît, la détection de tumeurs ne sera possible qu'après au moins dix ans et peut-être quinze ou vingt. Le GSM a été introduit dans notre pays en 1994 et s'est fortement répandu à partir de 1998-1999. C'est après 2013 que l'on pourra dire si le nombre de tumeurs en rapport avec ce nouveau risque est significatif au plan statistique. Les associations demandent de rabaisser des normes de 20,6 à 0,6 volt par mètre. Il faut revoir les normes à la baisse compte tenu des facteurs de risques évoqués. Mais il faut s'entendre sur ce chiffre de 0,6 V/m, qui a l'air magique. Le Conseil de santé et d'hygiène a recommandé par deux fois au gouvernement une norme de 3 V/m précisant qu'il s'agissait d'une valeur maximale calculée en tenant compte de l'ensemble des émissions dans la bande de fréquence considérée. Les 0.6 V/m de Salzbourg ne concernent qu'une valeur moyenne, pas même calculée sur 24 heures mais sur une année et ne concernent que les émissions GSM d'autre part. La proposition du Conseil de santé tient-elle compte d'autres facteurs de risques que l'effet thermique sur le corps humain ? La norme belge part d'une recommandation que l'OMS a formulée en 1993 avant que le GSM n'apparaisse. Cette recommandation cite l'effet thermique de « moins de 1 C » observé sur le corps humain après une exposition de 30 min. La norme belge a divisé cet effet par 50, limitant l'augmentation de température à 2 centièmes de degré. En recommandant 3 V/m, le Conseil de santé divise encore la puissance par cinquante, ce qui signifie que d'autres facteurs de risque sont pris en compte... Vous faites valoir le principe de précaution ? C'est une notion politique, voire juridique ou judiciaire. Pour ma part, je trouve que l'on manque beaucoup de prudence. Certaines études témoignent clairement de ce que le risque actuel paraît plus élevé que ce que l'on a imaginé il y a cinq ans. |
- L'article du journal LE SOIR du 3 ocobre 2006 en PDF : (cliquer)
- Mercredi 4 Octobre 2006 - - Sans fil mais non sans reproches ? |
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Bruxelles, le 3 octobre 2006.
COMMUNIQUE DE PRESSE Faisant suite aux articles parus ce jour dans la presse faisant état de la nocivité des antennes gsm pour la santé humaine, la Commission de la Sécurité des Consommateurs tient à mettre en garde la population belge contre les arguments prétendument scientifiques avancés dans ces articles. Ne souhaitant pas créer de polémique sur la question, la Commission de la Sécurité des Consommateurs informe que depuis près de 4 années, elle met à la disposition des personnes en quête d'information objective et neutre, un site internet (http://www.infogsm.be) spécialement dédicacé à la question de la sécurité de la téléphonie mobile (antennes et gsm). Le contenu de ce site est préparé par les membres d'un groupe de travail de la Commission composé non seulement de représentants des opérateurs de téléphonie mobile, mais aussi de représentants des associations de Consommateurs, des autorités publiques concernées et de l'IBPT. La Commission tient encore à rappeler qu'en mai 2006, l'Aide-mémoire n° 304 (voir en annexe) de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) indiquait que "de récentes études ont révélé que les expositions aux radiofréquences émanant des stations de base et des technologies sans fil dans les zones publiques (dont les écoles et les hôpitaux) sont normalement des milliers de fois plus basses que les normes internationales. En fait, en raison des faibles fréquences et des niveaux d'exposition similaires aux radiofréquences, l'organisme absorbe cinq fois plus de signaux de la FM et de la télévision que des stations de base." Ce même document concluait que "compte tenu des très faibles niveaux d'exposition et des résultats des travaux de recherche obtenus à ce jour, il n'existe aucun élément scientifique probant confirmant d'éventuels effets nocifs des stations de base et des réseaux sans fil pour la santé." Il invitait également à un meilleur dialogue sur les risques liés aux champs électromagnétiques entre la population et les décideurs (politiques) confrontés à la controverse publique dans un contexte d'incertitudes scientifiques, ceci afin d'éviter les malentendus et de créer un meilleur climat de confiance. La Commission de la Sécurité des Consommateurs signale donc qu'en l'absence d'autre évidence scientifique confirmée, elle se rallie à la position de l'OMS en matière de sécurité de la téléphonie mobile. |
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- Lettre Ouverte au Dr Anders Nordström, Directeur Général de l’OMS - (cliquer)
Les relais GSM sous tensionCHRISTOPHE SCHOUNE lundi 02 octobre 2006, 02:00 La prolifération des antennes relais inquiète riverains et communes qui bloquent de nombreux projets.
Si les parents lasnois ont prêché dans le désert pour faire débrancher cette divine antenne, l'action fut plus payante à Cortil-Noirmont. Ici, arguant de motifs similaires, un groupe de riverains est parvenu à faire cesser voici deux ans l'émission d'une station relais dans un clocher surplombant une école. « Beaucoup d'études montrent la nocivité de ces antennes, concède Michel Van Cromphaut, riverain de Cortil (Chastre). Le principe de précaution doit prévaloir au plan local d'autant que les zones inhabitées ne manquent pas pour implanter ces relais. » Ces deux cas d'école illustrent le courant d'inquiétude irrigué par le bain électromagnétique dans lequel la population est plongée en permanence. Huit mille stations relais sont réparties sur 6.000 sites pour l'ensemble du territoire. Et d'ici fin 2009, les opérateurs font valoir la nécessité d'étendre la capacité à 9.000 sites pour satisfaire aux besoins de couverture de la troisième génération de mobilophonie. L'extension de la forêt de pylônes a un corollaire : la croissance des protestations. De Bruges à Arlon et de Tournai à Anvers, des pétitions fleurissent chaque semaine avant d'atterrir sur les bureaux des collèges. « Le mobile nous rapproche tous, mais peut-être de la maladie, note avec humour l'ingénieur André Corbisier. À Rebecq, la commune soutenait l'implantation d'une antenne au coeur du village. Notre pétition a recueilli plus de 400 signatures et une autre pétition initiée par le bourgmestre en a recueilli une petite centaine. Il a bien dû s'incliner ! Le problème n'est pas de refuser le progrès, mais de protéger les citoyens d'effets néfastes liés à ces expositions excessives. » Dénominateur commun pour ces comités de riverains, les publications scientifiques attestant de risques parfois très graves pour la santé humaine et animale à des très faibles taux d'exposition s'accumulent. Et la majorité de ces comités évoque des normes fédérales d'exposition (20,6 volts par mètre) trop laxistes en Belgique par rapport à certains pays voisins dont la qualité du réseau n'est pas moins mauvaise. « À Frameries, les riverains se battent depuis plus de 4 ans contre une antenne relais implantée illégalement et de nuit par un opérateur, explique Marc Deherve. Nous souffrons d'effets liés au champ électromagnétique causé par cette antenne : troubles du sommeil, maux de tête, pour ne citer que les principaux... » Souvent sensibles aux craintes de leurs administrés, les communes se voient pourtant systématiquement déboutées lors des recours introduits auprès de la tutelle régionale. Au cabinet du ministre de l'Aménagement du territoire André Antoine (CDH), on enregistre une inflation jugée parfois « électoraliste » de refus de permis d'urbanisme ces derniers mois : « Notre compétence est paysagère mais ne concerne en aucun cas de la santé, argumente le porte-parole du ministre Antoine. Or, les réclamations concernent rarement les considérations urbanistiques. Nous ne pouvons pas régler des problèmes de santé à travers l'urbanisme. » Souhaitant une table ronde entre opérateurs et pouvoirs publics, André Antoine a écrit au ministre de la Santé Rudy Demotte (PS). « La réponse est en cours de traitement, remarque-t-on chez M. Demotte. Mais il n'y aura pas de révision des normes avant les prochaines recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) prévues en 2007. » Dans ce contexte électrisé, certaines communes tentent d'aller plus loin afin de protéger leurs ouailles. Ce fut le cas de Watermael-Boitsfort, à Bruxelles, qui a adopté un règlement afin de limiter la puissance des antennes à 3 volts par mètre. « Hélas, les opérateurs qui introduisent des recours sont entendus par la Région qui délivre les permis en invoquant les normes fédérales supérieures », souligne la bourgmestre Martine Payfa (MR). Côté wallon, aucun permis d'environnement n'est exigé par la Région pour émettre. L'Union des villes et communes suggère dès lors aux entités qui le souhaitent d'adopter des règlements susceptibles de durcir les normes fédérales pour des motifs de sécurité et de santé. Message reçu ! La commune de Visé, en région liégeoise, a pris voici trois ans une ordonnance de police administrative. Son texte impose une valeur d'exposition inférieure à 1,5 volt par mètre. « Nous avons été soumis a des fortes pressions des opérateurs et à des recours au Conseil d'État lors de refus de permis d'urbanisme, note Martial Mullenders (Ecolo), échevin de l'Urbanisme. Mais jusqu'à présent, notre ordonnance a force de loi sur notre territoire... » De son côté, le conseil communal d'Aubange, en province de Luxembourg, décidait fin août d'adopter une ordonnance imposant à toute station relais une distance de sécurité de 300 mètres minimum de tout noyau d'habitations. Cette distance, on l'aura compris, fait figure d'exception pour le moment dans le paysage. À Lasne-Chapelle-Saint-Lambert, la fabrique d'église se morfond face à ce « péché véniel » commis sous les cloches : « Je suis atterré quand je découvre aujourd'hui certains articles scientifiques dont les opérateurs se gardent bien de parler, concède Louis Evrard, président de la fabrique. |
- L'article du journal LE SOIR du 2 octobre 2006 en PDF : (cliquer)
Antennes et risque de cancers (02/10/2006) Des études prouvent la nocivité des ondes BRUXELLES Les antennes relais émettent des ondes électromagnétiques et créent des champs électromagnétiques artificiels (CEM). Elles sont utilisées notamment pour former les réseaux GSM et Wi-Fi. En Belgique, la valeur limite recommandée pour ces CEM est de 20 V/m. A Salzbourg, en Autriche, elle est de 0,06 V/m et les GSM autrichiens continuent de fonctionner normalement. De nouvelles études démontrent la dangerosité des ondes sur la santé : maux de tête, insomnies, allergies cutanées, irritabilité, apparition de tumeurs.... Une étude réalisée en Suède entre 1997 (date de l'introduction du système Dual Band dans le pays) et 2004 montre que la santé de la population s'est dégradée. Le taux de suicide et les risques d'apparition de cancers ont fortement augmenté. L'utilisation soutenue du GSM, notamment, accroît le risque de cancer au cerveau. Les téléphones portables de maison seraient tout aussi nocifs. Leur centrale émet en permanence des ondes électromagnétiques : il est conseillé de ne pas dormir à proximité. C. Bo.
Agressé par les ondes (02/10/2006) Serge a vécu un véritable calvaire à cause BRUXELLES Serge avait une vie tout à fait normale. Jusqu'en septembre 2002, moment où il a emménagé dans une nouvelle maison. Toutes les nuits, il se réveillait entre 2 h et 4 h du matin. "J'étais dans un état épouvantable. J'étais extrêmement nerveux, je ne retrouvais plus le calme en moi-même." En 2004, ses insomnies n'ont pas cessé et d'autres symptômes sont même apparus : sifflements dans les oreilles, maux de tête, fourmillements. C'est alors qu'il s'aperçoit qu'il y a une antenne GSM à 50 mètres de sa maison ! Serge se rend chez ses voisins et il constate alors que d'autres personnes souffrent des mêmes symptômes. L'antenne fut enlevée et les maux disparurent. "Mais en août 2004, après une conversation de 30 minutes avec mon téléphone portable de maison, j'ai eu un mal de tête épouvantable. J'avais l'impression que la partie droite de mon cerveau se ratatinait sur elle-même. À ce moment, j'ai compris que j'étais également sensible aux ondes des portables et des GSM." Serge ne peut plus vivre dans un environnement où la pollution électromagnétique dépasse 0,08 V/m, alors que la Belgique autorise un maximum de 20 V/m ! "Ces ondes sont une agression permanente invisible et pernicieuse. Et quand on se sent agressé, on devient soi-même agressif, nerveux, irritable pour un rien. De plus, quand je suis dans une maison où il y a un téléphone portable, je commence à ressentir des picotements dans les membres, j'ai les oreilles qui sifflent et j'ai l'impression que tout mon cerveau est sous pression. J'ai des douleurs articulaires et musculaires, des insomnies, des pertes de concentration au point de ne plus pouvoir parler. Je mets trois jours pour me remettre. Aujourd'hui, je me suis séparé de ma femme et j'ai changé de travail. Je vis actuellement dans un environnement où la pollution électromagnétique ne dépasse pas les 0,03 V/m. J'ai retrouvé mon équilibre et ma stabilité. J'ai un téléphone fixe, j'utilise le GSM de manière parcimonieuse et je fais attention à ne pas rester dans des endroits pollués." Et pour repérer ces endroits, Serge utilise un appareil qui mesure la pollution électromagnétique. D'autres personnes électrosensibles comme lui vont jusqu'à dormir dans une cage de Faraday pour se protéger des ondes. "Je ne mets pas à mal la technologie, mais elle doit être limitée au strict minimum. Chez moi, il y a 0,03 V/m et pourtant mes enfants ont un réseau maximal lorsqu'ils utilisent leur GSM." C. Bo. |
- L'article du journal La DERNIERE HEURE en PDF : (cliquer)
Annie Lobé, |
- L'article du journal Le Crestois en PDF : (cliquer)
L'autre danger de la téléphonie mobile |