Avertissement important :
Ce dossier est en actualisation permanente à compter du 18 07 2008
ce qui en d'autres termes veut dire que les fichiers existants sont modifiés
en temps
réel en fonction des renseignements issus des investigations in situ.
- Dossier associé en cours d'investigations : Décharge de Chambard ( in progress) -
Information = anomymat garanti : contact@next-up.org
- Mardi 29 juillet 2008 -
Lanceur d'Alerte
Dossier rejets aquatiques FBFC/CERCA du site AREVA Analyse, reportage et contrôle in situ à la station d'épuration Le site nucléaire d’AREVA de Romans sur Isère se compose de deux Installations Nucléaires de Base appelées en abréviation INB.
- Types de rejets liquides : A1 - Les eaux contaminées par des effluents radioactifs ou chimiques sont en principe évacuées vers une station de traitement physico chimique de récupération des matières en suspension. B - Un rejet liquide accidentel (défaillance) issu de la station de traitement physico chimique de récupération des matières en suspensions est un scénario possible, en conséquence indépendamment des contrôles et alertes in situ, un contrôle d’alerte ultime (station automatique) devrait avoir lieu au final du collecteur spécial sous le pont des Allobroges à Romans sur Isère. Calculs volumiques et massiques : A ce jour le seul élément manquant afin d'estimer la masse globale d'uranium artificiel perdue est le chiffrage du débit de la fuite. En conséquence les chiffres immédiatement annoncés des rejets de 200 à 700 grammes d’uranium, n’ont évidemment aucune valeur en soit et peuvent même être considérés comme totalement fantaisistes, voire de la désinformation pour rassurer.
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- Vendredi 25 juillet 2008 -
- ASN Dossier demande de reclassement niveau INES -
- cliquer-
- Jeudi 24 juillet 2008 -
Reportage HD 28'
Avertissement temps de téléchargement assez long
Lanceur d'Alerte
- FBFC, une filiale d'AREVA |
- Questions sur le Combustible / Dispositifs Sûreté |
- Mercredi 23 juillet 2008 -
L'autre réalité qui dérange...
Information sur le nucléaire:
Qui a la confiance de la population ?
- Mardi 22 juillet 2008 -
la lettre à
Script du reportage d'EHS TV News Monsieur le Maire, Un nouvel incident nucléaire vient de se produire dans la Drôme à l’usine FBFC / CERCA à dix jours d’intervalle avec celui de la SOCATRI du site nucléaire d’AREVA au Tricastin. En 1977 la société Franco-Belge de Fabrication de Combustible en abréviation FBFC est créée pour la fabrication de combustible pour les réacteurs nucléaires à eau pressurisée. Depuis l’année 2007 les entités CERCA et FBFC sont des filiales d’AREVA. La société CERCA présente sur le même site façonne entre autre aussi de l’uranium appauvri à des fins civiles et militaires. L’opacité étant de rigueur il est probable que la fuite ou la rupture d’une canalisation en PVC d’évacuation d’effluents radioactifs découverte le jeudi 17 juillet dans une goulotte en béton recouverte de dalles se situe entre une cuve de recyclage de la CERCA et une station d'épuration qui permet la récupération de l’uranium contenu dans les effluents uranifères. La réalité est que cette goulotte ou plus précisément ce caniveau est percé de sept évents de décompression dans le sous-sol, sachant que le tuyau fuyard logé dans cette canalisation
a déposé un couche d’effluents boueux radioactifs dosés à 2 mg par litre d’uranium enrichi à 50 %, La durée de la fuite des émetteurs des contaminants radioactifs artificiels est contradictoire, en effet la direction du site d’AREVA annonce l’hypothèse que la rupture du tuyau d’effluents uranifères date des travaux de rénovation réalisés en 2006, tandis que l’ASN considère que la fuite a pu se produire dès la mise en service de la canalisation en 1977, ce qui corrobore l’analyse de Next-up organisation avec la mise en activité de la station de traitement des effluents radioactifs appelée Neptune. Ceci sous entend : ► Dans ces conditions au-delà des divergences d’évaluation AREVA et l’ASN sur les quantités d’uranium enrichi qui ont migré dans la terre, ceci depuis un temps indéterminé, nous estimons qu’il y a l'évidence d'une totale incohérence avec une possibilité qu’AREVA ou l’ASN puisse annoncer immédiatement le chiffrage du quantitatif de cette fuite d’effluents d’éléments radioactifs artificiels si comme cela est dit cette fuite était pérenne suivant une durée indéterminée pouvant atteindre plus de 10 ans. En conséquence les chiffres annoncés des rejets de 200 à 700 grammes d’uranium, n’ont évidemment aucune valeur en soit et peuvent même être considérés comme totalement fantaisistes, voire de la désinformation pour rassurer. ► Même si depuis huit ans ce collecteur spécial rejette des effluents radioactifs en conformité avec la réglementation et même si des contrôles sont réalisés régulièrement, qui peut garantir en l’absence de station automatique de contrôle que lors d’un rejet accident que l’alerte soit immédiatement donnée ? La sortie du collecteur spécial en totalité souterrain est aussi intégralement immergée dans l’Isère qui a un débit moyen important d’environ 330 mètres cubes secondes, en conséquence en cas d’incident la dilution du contaminant radioactif rendra son évaluation difficile, voire celle-ci pourra passer totalement inaperçue. Dans ces conditions, il a été évidemment impossible de réaliser ce 18 juillet 2008 le moindre contrôle de radioactivité surfacique sur ces effluents ou de réaliser un prélèvement à la sortie du collecteur dans l’Isère qui est actuellement en hautes eaux. La seule possibilité de contrôle afin de déterminer s’il y a des traces d’émetteurs de radioactivité dans Romans émanant du collecteur spécial se situe sur l’avant dernier regard juste avant son immersion dans l’Isère. Nous ne savons évidemment pas qu’elle est le degré d’étanchéité de la plaque du regard, néanmoins il est légitime d’imaginer que si nous avions accès au tuyau du collecteur spécial nous risquerions d’avoir des surprises désagréables, même dans le meilleur des cas si cette radioactivité reste dans les normes dites légales annuelles. ► Face à ces impossibilités de contrôle nous nous sommes donc rendus chez le seul et le plus proche riverain qui est mitoyen du site nucléaire afin de procéder avec un compteur Geiger Müller à un contrôle global surfacique de rayonnements ionisants de l’eau de son puits.
Les dérives environnementales de tous niveaux d’AREVA ne sont plus tolérables.
En ce qui concerne l’Autorité de Sûreté Nucléaire elle doit mettre en conformité ses actes et extériorisations médiatiques avec la loi numéro 2006-686 du 13 juin 2006, dans le cas contraire il faut qu’elle sache que le temps de l’opacité et de la désinformation sont révolus. |
- Lundi 21 juillet 2008 -
Dossier en cours d'investigation in situ
Rejets liquides à Romans (ville): " Rien ne va plus "
- Dossier Évènement du 18 juillet 2008 -
Vue Sud Site nucléaire AREVA / FBFC Romans
Vue Sud/Ouest Site nucléaire AREVA / FBFC Romans
Vue Sud/Est Site nucléaire AREVA / FBFC Romans
Extrait |
Collecteur souterrain spécial
bi-tubes
.
.
Tracé site nucléaire AREVA ► direct Isère
La sortie de l'unique collecteur spécial bi-tubes du site nucléaire d'AREVA
des effluents "épurés" néanmoins radioactifs
"conformes" à la réglementation des rejets
est entièrement souterrain
pour aboutir totalement immergée
directement dans
l'Isère
en aval du
barrage hydroélectrique
de Pizançon
exactement entre les deux piles
du pont
des Allobroges
côté rive droite dans
la zone
périurbaine de . . . Romans !
Départ du site d'AREVA du collecteur Spécial d'effluents
Après un cheminement de plus d'un kilomètre
sous une route dans la zone industrielle,
puis résidentielle,
le collecteur spécial d'effluents arrive rive droite de l'Isère
longitudinalement au barrage hydroélectrique de Pizançon.
Signer la pétition pour soutenir le consortium scientifique
BioInitiative
permettra à plus ou moins long terme de faire
baisser votre exposition aux rayonnements électromagnétiques.
Avec cette action, vous protégerez aussi vos enfants et votre entourage.