Non respect des procédures légales, une habitude chronique.

Nous avons rencontré en Zone Industrielle de Crest plus de 150 personnes entre le 2 et le 3 septembre 2010,
mis à part celles des Services Techniques de la ville de Crest qui étaient évidemment informées, toutes
découvraient l’installation du pylône des antennes relais de la macro station d’Orange réalisée pendant les vacances.

Néanmoins dans le journal le Crestois du 9 avril 2010, il est écrit :
" ... La réunion d’information destinée à la population n’a attiré personne mardi soir à la maison des associations ! Seuls trois membres de la municipalité étaient présents pour écouter les deux représentants de l’opérateur
Bernard Deleuze et Jean-Marie Bosch annoncer l’installation de six antennes supplémentaires sur Crest !"

Les riverains avaient-ils été informés ou correctement informés de cette réunion : la réponse est NON.
Dans ces conditions pas étonnant que pas une seule personne n’est été présente à cette réunion, c’est une stratégie médiatique qui permet de "dédouaner" Orange, mais il n’en reste pas moins que c’est une stratégie de voyous.
En ce qui concerne l'affichage réglementaire comme précédent Orange s'en affranchit,
la catimini et le fait accompli sont toujours de mise.
Orange qui a triste réputation à Crest en remet une couche.

Dossier Antennes relais d'Orange de Crest et Surmortalité
"les sacrifiés d'Orange"
avec tous les liens de l'affaire, juqu'au désistement d'Orange par devant le Cour d'Appel de Versailles
Nous considérons l'affaire toujours en cours.

En ce qui concerne l’instruction du dossier des antennes de la Zone Industrielle, comme à l’habitude, c’est pareil,
la concertation avec les riverains "passe à la trappe", c’est proprement scandaleux dans un état dit de droit.

Obligations :
Groupe de Travail Départemental Environnement et Santé
dans les Installations de Radiotéléphone
click

Antennes Relais
Dévalorisation du Patrimoine
et
Taxes Foncières

click

La Communauté de Communes
irradiées directement dans les champs proches !

Vues de l'entrée du bâtiment tertiaire de la Communauté de Communes  du Val de Drôme
qui avec un effectif de 75 salariés regroupe 36 communes du Val de Drôme soit la quasi totalité des communes
 (sauf Crest !) dont le siège social est sis rue Henri Barbusse Zone Industrielle de Crest, … situé à quelques
dizaines de mètres où a été implanté le pylône de la puissante macro-station de base d’antennes relais d'Orange.

Méconnaissance totale du risque sanitaire ?
Faire pire pour cette implantation de site d’antennes relais 
qui est presque mitoyenne au bâtiment des bureaux de la Communauté de Communes est difficilement réalisable. 
De plus, ce qui est encore plus incroyable et totalement inconscient,  
un faisceau d’irradiation a son azimut exactement dans l’axe du bâtiment (la totale)  !!  

Dans le contexte politique local actuel certains pensent qu’il est légitime de se poser des questions
face à un état de fait qui ressemble et qui pourrait être assimilé à "de la provocation" ;
Hervé Mariton, Maire de Crest  accepterait-il une macro station d’antennes relais face à l’Hôtel de Ville ?

Il n’en reste pas moins que confronté à ce scandale sanitaire Jean Serret, président de la
Communauté de Communes du Val de Drôme et les membres du Conseil d’Administration ont cinq possibilités :

1 -  Ne rien faire, ce qui veut dire laisser le personnel de la Communauté de Communes irradié directement
par les RadioFréquences artificielles HF micro-ondes dans  le faisceau d’une antenne relais,
avec tous les risques sanitaires inhérents d’une irradiation pérenne de 8 heures par jour, avec une forte
amplification des irradiations par réflexions sur les bardages métalliques des structures des bâtiments de l’UCAB.  
DATABASE SANTÉ  avec les études scientifiques

Vidéo Faisceau irradiation antennes relais
Voir l'invisible avec Michèle Rivasi et Serge Sargentini [UK]

2 – Protéger toute la partie Est du bâtiment tertiaire de la Communauté de Communes situé face aux antennes relais en renvoyant à "l’expéditeur " et aussi ailleurs les irradiations HF artificielles micro-ondes.
Dossier PROTECTIONS

3 – Demander au Préfet de la Drôme, garant de la légalité,
le réexamen complet du dossier dans le respect strict de la réglementation opposable.
Dossier RÉGLEMENTATION

4 – Protéger le personnel des irradiations HF artificielles micro-ondes en déménageant les bureaux
du siège social de la Communauté de Communes dans un autre environnement non pollué.

5 – Engager une procédure judiciaire afin de faire démanteler le pylône d’antennes relais.
Cela est tout à fait possible, voire certain, mais avec des bons  Conseils …  très spécialisés en CEM.

Dossier :

 Un scandale et une première en France :
"Les antennes relais comme arme politique ?"

" Les gens vont servir de cobayes, je ne le supporte pas" 
C’est en ces termes adressés dans un silence glacial au député-maire de Crest Hervé Mariton que
Jacques Liotard leader PS de l’opposition municipale donne sa démission en plein Conseil Municipal en 2004, c'est
peut-être la première action courageuse en France d’un politique par rapport aux effets sanitaires des antennes relais.

Au niveau national, les antennes relais se sont invitées brutalement et par surprise dans le débat politique lors du référendum de 2005, elles ont provoqué indirectement la victoire du NON par l’intermédiaire de la directive Bolkestein, les analystes sont d’accords, il existerait même un "dossier politique confidentiel" sur France Télécom.

Depuis "Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais" pourrait-être la devise de certains hommes politiques
à l’égard des antennes relais à l’instar du "cire-pompes" Bernard Accoyer [Dossier].

En descendant de plusieurs crans dans la hiérarchie politique, se place le prolixe et subtile
Député Maire de Crest Hervé Mariton, éphémère ministre de l’Outre-mer du gouvernement de Villepin,
vraie girouette pour ceux qui suivent ses pérégrinations politiques,
mais surtout menteur avéré par constat d'huissier.

Toujours est-il que si Hervé Mariton n’est pas "la tasse de thé" de Nicolas Sarkozy,  c’est encore pire avec
la majorité départementale PS incarnée dans le microcosme local par les deux Conseillers Généraux de Crest PS,
Jean-Pierre Tabardel et surtout  Jean Serret, président de la Communauté de Communes du Val de Drôme
qui regroupe la quasi totalité des communes, sauf paradoxalement la plus importante (Crest).

Il est de notoriété publique et ce n’est pas un euphémisme de dire que depuis des années les deux hommes sont
des ennemis et "croisent le fer" non seulement sur la place publique, mais aussi pour le contrôle économique du Val de Drôme, "le petit schlem" des 36 communes ralliées à la Communauté de Communes du Val de Drôme présidée par Jean Serret  n’est évidemment pas du tout "du gout" d’Hervé Mariton qui se retrouve totalement isolé à Crest.


  Hervé Mariton peut toujours dire qu’il n’y est pour rien dans l’affaire des antennes relais 3G d’Orange de la Zone Industrielle de Crest puisque le bailleur n’est pas la ville de Crest, mais en tout état de cause celle-ci étant vaste
elle offre de nombreuses autres possibilités d'implantations adaptées et éligibles à la couverture radio,
même sur les imposants bâtiments de l'UCAB, bailleur de la Société Anonyme Orange.

Néanmoins force est de constater que dans d’autres cas identiques sur le ville, non seulement Hervé Mariton
n’a jamais aidé ses administrés contre l’opérateur Orange, pire il s’est même coalisé avec cet opérateur
dans les procès de masse contre les associations locales,
dont les attendus du jugement sont très instructives pour toutes les associations et collectifs de France.

  Par contre on constate que lorsqu’il s’agit des antennes relais 3G de SFR,
Hervé Mariton n’en veut pas et este en justice contre SFR ... sans succès !  
La une du Dauphiné Libéré
Installation d’antennes 3G
"Crest s’incline devant SFR"

ZOOM

Nous sommes en République, il ne peut y avoir deux poids et deux mesures,
Hervé Mariton en tant que député ne peut l’ignorer :
Pourquoi  les antennes relais de SFR ne sont-elles pas à Crest en "odeur de sainteté" par rapport à celles d’Orange ?

En conséquence, n'en déplaise à Hervé Mariton, il est légitime de penser
que peut-être pour la première fois en France les antennes relais sont utilisées comme
"arme politique".

Prochain épisode :
Hervé Mariton n’en a pas fini avec les antennes relais puisque c’est encore Orange qui va bientôt réaliser une première en France, en installant des antennes relais d’une macro-station de puissance tri-bandes (GSM-UMTS/3G) carrément dans un bâtiment,
celui tristement célébre de France Telecom de la basse ville de Crest, suivant une nouvelle technique ?
Les termes explicitent du journal Le Crestois fond froid dans le dos,
bientôt les riverains ne verront plus rien :
"… En effet, Orange, peut tranquillement les installer à l’intérieur du bâtiment !".

Il n'en reste pas moins que les riverains survivants, sont survivants pour combien de temps encore ?
Ignominie et réalité scandaleuse : il y a encore pire,
les riverains qui sont morts ont même été… condamnés post mortem par la Justice !

Face à l’accroissement sans précédent de l'irradiation artificielle micro-ondes dans l’environnement, il est nécessaire et vital d’avoir de nouvelles données pour une évaluation globale de l’impact des ondes sur la santé des humains.

Ce questionnaire enquête anonyme grand public se veut simple.
Pour qu’il soit crédible et représentatif il est essentiel qu’il obtienne une large diffusion en Europe et dans le monde pour engranger le maximum de données statistiques.

Élaboré à l’origine en version papier par le Dr Roger Santini, il a été actualisé
afin d’être au plus près de la réalité du vécu des riverains d’antennes relais.
Après traitement informatique des données, les statistiques seront transmises anonymement aux scientifiques et organismes d’états afin d’analyses et publications.

Merci de votre aide pour la diffusion de cette enquête européenne.